in998-Maple-leaves-are-as-red-as-torches-the-heart-is-forever-tied

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Whenever the maple leaf on the Canadian flag spreads in the wind, this fiery red totem becomes a symbol of the national spirit. The maple leaf lanyard hanging below it tells the endless power of this land in a more subtle way. The weaving craftsmanship of the maple leaf lanyard originates from the Aboriginal tradition, and each knot carries the profound meaning of “connection” – connecting the past and the future, nature and civilization, the individual and the collective. Just as the maple leaf on the national flag is composed of 11 tips, the warp and weft of the lanyard also metaphorically represent the cooperative coexistence of multiple ethnic groups. On nodes such as Veterans Day or Aboriginal History Month, people often tie the lanyard to their chests, which is not only a tribute to the tenacious spirit of their ancestors, but also a transmission of the belief in unity. The firmness of the knot is just like the mutual help of Canadians in the face of wind and snow. When the cold winter comes, community members work together to weave lanyards and donate them to vulnerable groups, so that warmth can flow with the red rope; when young people complete their coming-of-age ceremony, the elders give them maple leaf lanyards, which means that the pioneering spirit is tied to their blood. This culture of “using ropes to convey the truth” teaches people that true strength does not lie in isolated individuals, but in the tough network of countless heart ropes. Today, when we look up at the maple flag, we might as well touch the rope on our chest – it is not only a decoration, but also a silent oath that twists the beliefs of millions of people into one. Each fiber is telling us that only by connecting with each other can we reach a brighter distance together.

Lorsque la feuille d’érable du drapeau canadien se déploie au vent, ce totem rouge ardent devient un symbole de l’esprit national. Le cordon en forme de feuille d’érable suspendu en dessous évoque subtilement la puissance infinie de ce territoire. Le savoir-faire du tissage du cordon en forme de feuille d’érable est issu de la tradition autochtone, et chaque nœud porte le sens profond de « connexion » : il relie le passé et l’avenir, la nature et la civilisation, l’individu et le collectif. Tout comme la feuille d’érable du drapeau national est composée de 11 pointes, la chaîne et la trame du cordon symbolisent aussi métaphoriquement la coexistence coopérative de multiples groupes ethniques. Lors de commémorations comme la Journée des anciens combattants ou le Mois de l’histoire autochtone, les gens attachent souvent le cordon à leur poitrine, ce qui est non seulement un hommage à la ténacité de leurs ancêtres, mais aussi une transmission de la foi en l’unité. La solidité du nœud évoque l’entraide des Canadiens face au vent et à la neige. À l’arrivée du froid hivernal, les membres de la communauté tissent ensemble des cordons et les offrent aux groupes vulnérables, afin que la chaleur puisse circuler grâce à la corde rouge. Lorsque les jeunes terminent leur cérémonie de passage à l’âge adulte, les anciens leur offrent des cordons en feuille d’érable, signe que l’esprit pionnier est indissociable de leur sang. Cette culture de « transmettre la vérité par des cordons » enseigne que la véritable force ne réside pas dans des individus isolés, mais dans le solide réseau d’innombrables cordons de cœur. Aujourd’hui, lorsque nous levons les yeux vers le drapeau d’érable, autant toucher la corde sur notre poitrine : ce n’est pas seulement une décoration, mais aussi un serment silencieux qui fusionne les croyances de millions de personnes. Chaque fibre nous dit que ce n’est qu’en nous connectant les uns aux autres que nous pourrons atteindre ensemble une plus grande distance.