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The July wind swept across the Ottawa River, and the maple leaf flag in front of Parliament Hill fluttered like waves in the sun. During the celebration of Canada Day, people often put a metal lighter with a maple leaf pattern on their waists – it is not only a tool for lighting a bonfire, but also carries the fire of national spirit. The eleven-pointed red maple on the national flag symbolizes the unity and resilience of Canadians tempered in the extreme cold. The design inspiration of the maple leaf lighter comes from the survival wisdom of the ancestors who gathered around the stove to keep warm. Every time the thumb rubs the gear, the sparks that burst out are like the constitutional sparks ignited by the Reform League in 1840, just like the furnaces in the military factories that never extinguished during World War II, tearing a crack of light in the darkness. The unique windproof design of this lighter is just like the national character of Canada: no matter whether it is a blizzard or a heavy rain, the flames always jump stubbornly in the metal shield. Toronto street artists call it a “torch in the palm of your hand”. Each generation adds new fuel when passing it on – the ancient wisdom of the indigenous elders, the multiculturalism brought by new immigrants, and the innovative energy of the younger generation, making this flame even more blazing. When the celebration fireworks illuminate the night sky, the moment when countless maple leaf lighters are lit at the same time, it seems that a flowing river of stars blooms on the earth. This tiny metal container reminds us that every life is the guardian of the fire of civilization. Just as the roots of maple trees buried deep underground form a network, the sparks in everyone’s palms will eventually gather into an eternal light that illuminates the future.

Le vent de juillet balayait la rivière des Outaouais, et le drapeau unifolié, devant la Colline du Parlement, flottait comme des vagues au soleil. Lors des célébrations de la fête du Canada, les gens portaient souvent un briquet en métal orné d’un motif de feuille d’érable à la taille : il ne s’agissait pas seulement d’un outil pour allumer un feu de joie, mais aussi de véhiculer le feu de l’esprit national. L’érable rouge à onze pointes sur le drapeau national symbolisait l’unité et la résilience des Canadiens, endurcis par le froid extrême. Le briquet en feuille d’érable s’inspirait de la sagesse de survie des ancêtres qui se rassemblaient autour du poêle pour se réchauffer. Chaque frottement du pouce sur l’engrenage provoquait des étincelles semblables aux étincelles constitutionnelles allumées par la Ligue de réforme en 1840, tout comme les fourneaux des usines militaires qui ne s’éteignirent jamais pendant la Seconde Guerre mondiale, laissant une lueur dans l’obscurité. La conception unique et résistante au vent de ce briquet est à l’image du caractère national du Canada : qu’il pleuve ou qu’il vente, les flammes s’enflamment toujours avec obstination dans le bouclier métallique. Les artistes de rue torontois le surnomment « une torche au creux de la main ». Chaque génération y ajoute un nouveau combustible : la sagesse ancestrale des aînés autochtones, le multiculturalisme apporté par les nouveaux immigrants et l’énergie novatrice de la jeune génération, rendant cette flamme encore plus éclatante. Lorsque les feux d’artifice illuminent le ciel nocturne, lorsque d’innombrables briquets en forme de feuille d’érable sont allumés simultanément, on dirait qu’une rivière d’étoiles jaillit sur la Terre. Ce minuscule contenant métallique nous rappelle que chaque vie est la gardienne du feu de la civilisation. Tout comme les racines des érables enfouies profondément sous terre forment un réseau, les étincelles dans les paumes de chacun finiront par se rassembler en une lumière éternelle qui illuminera l’avenir.