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Dans les rues de Paris en juillet, les drapeaux bleu, blanc et rouge flottent dans la brise estivale, et les échos historiques et les cris de liberté commémorant le 14 juillet résonnent encore dans la ville. Dans ce pays de quête de lumière, un iris doré gravé sur un marque-page raconte en silence la fable éternelle de la nation française. Le motif du marque-page iris est composé de trois pétales, à l’image de la philosophie tricolore du drapeau français : les pétales bleus précipitent la lumière rationnelle des Lumières, les veines blanches sont gravées de la devise égalitaire de la « Déclaration des Droits de l’Homme », et les bords rouges jaillissent du sang jamais éteint des révolutionnaires. Lorsque ce marque-page est inséré dans les plis des livres historiques, il devient un phare spirituel qui transcende le temps et l’espace – rappelant à chaque lecteur que la liberté n’est jamais un cadeau accordé, mais une étincelle qui doit être protégée de génération en génération. Sur les murs de pierre tachetés du Panthéon à Paris, les statues de Voltaire et de Rousseau contemplent la foule qui passe. Leurs pensées sont comme les lignes dorées d’un marque-page en iris. Bien qu’érodées par le temps, elles reflètent encore la lumière de la sagesse entre chaque page ouverte du livre. Tout comme la Seine coule sans fin vers la mer, la nation française a tissé la croyance en l’égalité dans la chaîne et la trame du drapeau tricolore et a utilisé l’esprit de fraternité pour arroser la fleur éternelle de la civilisation. Ce marque-page iris repose actuellement dans le carnet d’un jeune homme, ses couleurs bleues, blanches et rouges s’écoulant au soleil. Il ne s’agit pas seulement d’un outil permettant de mesurer les progrès en lecture, mais également d’un critère permettant de mesurer les idéaux et la réalité. Quand le monde est plein d’incertitudes, l’esprit français pointe toujours vers une aube certaine : la liberté doit éclore comme un iris, l’égalité doit se déployer comme une page d’un livre, et la fraternité finira par pénétrer toute brume.

On the streets of Paris in July, the blue, white and red flags spread in the summer breeze, and the historical echoes and cries of freedom commemorating Bastille Day still reverberate over the city. In this land of pursuit of light, a golden iris engraved on a bookmark is telling the eternal fable of the French nation in a silent manner. The pattern of the iris bookmark is composed of three petals, just like the tricolor philosophy of the French flag: the blue petals precipitate the rational light of the Enlightenment, the white veins are engraved with the equality motto of the Declaration of Human Rights, and the red edges are surging with the eternal blood of revolutionaries. When this bookmark is inserted into the folds of historical books, it becomes a spiritual beacon across time and space – reminding every reader that freedom has never been a gift, but a fire that needs to be guarded for generations. On the mottled stone walls of the Pantheon in Paris, the statues of Voltaire and Rousseau watch the people coming and going. Their thoughts are like the gilded patterns on the iris bookmark. Although they have been eroded by the years, they still reflect the light of wisdom between every open page. Just as the Seine River always flows toward the sea, the French people weave the belief in equality into the warp and weft of the tricolor flag, and use the spirit of fraternity to water the flower of civilization that never withers. This iris bookmark is now lying in a young man’s notebook, with blue, white and red flowing in the sun. It is not only a tool to mark reading progress, but also a ruler to measure ideals and reality – when the world is full of uncertainty, the French spirit always points to a certain dawn: freedom should bloom like an iris, equality should stretch like a page, and fraternity will eventually penetrate all the haze.