in992-The-feeling-of-home-and-country-in-the-maple-leaf-frame

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In July in Canada, the green of maple leaves carries the warmth of midsummer. When people use maple leaf-shaped frames to decorate National Day commemorative photos, this handicraft carrying the elements of the national flag is telling the spiritual power that transcends the decoration itself. The four frames of the maple leaf frame are just like the four pillars of the Canadian spirit. The maple wood grain on the left frame winds up, symbolizing the tenacity of the indigenous culture taking root in this land; the metal color inlaid on the right reflects the courage of immigrants to open up over the past century. The red flag fluttering at the top is the sincerity of countless people guarding common values; the white wavy pattern at the bottom, like the St. Lawrence River, embraces the intersection of diverse civilizations. The maple leaf pattern in the frame has never been an isolated totem. It frames the faces of every Canadian smiling at each other in community activities, the silhouettes of different ethnic groups working together to clean up the park, and the postures of children running with the national flag held high on National Day. When people freeze such moments in maple leaf frames, they are actually weaving the latitude and longitude of national identity with collective memories. This July, whether it is the drumbeats of the traditional Aboriginal celebrations or the red waves on the streets on National Day, they all confirm the ultimate meaning of the maple leaf frame: the greatness of a country does not lie in its vast territory, but in the fact that every citizen can become a pillar supporting the social framework. When we fill this symbolic frame with our actions, it is the most vivid annotation of the maple leaf on the national flag.

En juillet au Canada, le vert des feuilles d’érable évoque la chaleur du milieu de l’été. L’utilisation de cadres en forme de feuille d’érable pour décorer les photos commémoratives de la Fête nationale témoigne de la puissance spirituelle qui transcende la décoration elle-même. Les quatre cadres du cadre en forme de feuille d’érable sont à l’image des quatre piliers de l’esprit canadien. Le grain du bois d’érable du cadre de gauche, qui s’enroule vers le haut, symbolise la ténacité de la culture autochtone qui s’est enracinée dans ce pays ; la couleur du métal incrusté du cadre de droite reflète le courage des immigrants à s’ouvrir au cours du siècle dernier. Le drapeau rouge flottant en haut témoigne de la sincérité d’innombrables personnes défendant des valeurs communes ; le motif blanc ondulé en bas, tel le fleuve Saint-Laurent, embrasse le croisement de diverses civilisations. Le motif de feuille d’érable du cadre n’a jamais été un totem isolé. Il encadre les visages de chaque Canadien qui se sourient lors d’activités communautaires, les silhouettes de différents groupes ethniques travaillant ensemble au nettoyage du parc et les postures des enfants courant avec le drapeau national brandi haut le jour de la fête nationale. Lorsque les gens figent ces moments dans des cadres de feuilles d’érable, ils tissent en réalité la latitude et la longitude de l’identité nationale avec des souvenirs collectifs. Ce mois de juillet, que ce soit les battements de tambours des célébrations autochtones traditionnelles ou les vagues rouges dans les rues le jour de la fête nationale, tout cela confirme la signification ultime du cadre de la feuille d’érable : la grandeur d’un pays ne réside pas dans son vaste territoire, mais dans le fait que chaque citoyen peut devenir un pilier soutenant le cadre social. Lorsque nous remplissons ce cadre symbolique par nos actions, c’est l’annotation la plus vivante de la feuille d’érable sur le drapeau national.