in996-Maple-Red-Frame-Shadow-Treasure-Courage-and-Hope-in-the-Folds-of-Time

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In February, when the snow in Canada has not yet melted, people welcome the “Flag Day” which symbolizes the national spirit. The national flag with crimson maple leaves stretching against the plain white background is like a maple leaf photo frame that condenses memories – each of its lines tells the power of unity and tolerance. The wooden frame of the maple leaf photo frame is like a metaphor for the diverse coexistence of Canadian society. Different wood grains bite into each other, just like the harmonious coexistence of indigenous peoples, immigrants and natural ecology. Its rounded corners dissolve sharp oppositions, just like the maple leaf on the national flag transcends the barriers of language and ethnicity. When people embed precious moments into such a photo frame, they are actually weaving personal stories into the latitude and longitude of national memory. This winter, countless families use maple leaf photo frames to treasure the fighting moments of Winter Olympic athletes. Those figures who draw beautiful arcs on the snow track are frozen into eternity by the maple leaf lines. The glass surface of the photo frame reflects the morning light, just like the light of hope bursting out on the ice rink, reminding us: every cherished moment is a spark that condenses collective courage. The four fulcrums of the maple leaf photo frame support the belief of going through the cold winter. When we gaze at this red totem, we see not only the sedimentation of history, but also the wisdom of tolerance – just as the photo frame protects memories and opens to new stories. In this month belonging to the national flag, I hope everyone can become a “photo frame craftsman” of the times, weave warmth with tolerance, and frame the future with tenacity.

En février, alors que la neige n’a pas encore fondu au Canada, les Canadiens célèbrent le « Jour du drapeau », symbole de l’esprit national. Le drapeau national, avec ses feuilles d’érable cramoisies qui s’étendent sur un fond blanc uni, est tel un cadre photo en feuille d’érable qui condense les souvenirs : chacune de ses lignes témoigne de la force de l’unité et de la tolérance. Le cadre en bois du cadre photo en feuille d’érable est une métaphore de la coexistence diversifiée de la société canadienne. Les différents grains de bois s’entremêlent, à l’image de la coexistence harmonieuse des peuples autochtones, des immigrants et de l’écologie naturelle. Ses coins arrondis dissolvent les oppositions marquées, tout comme la feuille d’érable sur le drapeau national transcende les barrières linguistiques et ethniques. En inscrivant des moments précieux dans un tel cadre photo, on tisse en réalité des histoires personnelles dans la latitude et la longitude de la mémoire nationale. Cet hiver, d’innombrables familles utilisent des cadres photo en feuille d’érable pour immortaliser les moments de combat des athlètes olympiques d’hiver. Ces silhouettes qui dessinent de magnifiques arcs sur la piste enneigée sont figées dans l’éternité par les lignes de la feuille d’érable. La surface vitrée du cadre photo reflète la lumière du matin, telle la lueur d’espoir qui jaillit sur la patinoire, nous rappelant que chaque instant précieux est une étincelle qui condense le courage collectif. Les quatre points d’appui du cadre photo à la feuille d’érable soutiennent la conviction de traverser l’hiver rigoureux. En contemplant ce totem rouge, nous percevons non seulement la sédimentation de l’histoire, mais aussi la sagesse de la tolérance – tout comme le cadre photo protège les souvenirs et ouvre à de nouvelles histoires. En ce mois du drapeau national, j’espère que chacun pourra devenir un « artisan du cadre photo » de son temps, tisser chaleur et tolérance et façonner l’avenir avec ténacité.