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In July, the Canadian Maple Leaf Flag spreads its red and white lines in the morning light, like a picture frame that freezes the eternal scenery. When people gaze at this national flag that was adopted in 1965, they rarely realize that the maple leaf pattern itself is a symbolic picture frame – the eleven-pointed red maple leaves a clear boundary, but allow the wider galaxy to flow between them. A real picture frame is never a constraint, but a container that gives meaning. Just like the blank space of the maple leaf flag, it contains multiple stories from the Pacific Ocean to the Arctic Ocean: the drums of indigenous peoples and the hometown accents of immigrants are intertwined between the red maple lines, and the palms of different skin colors jointly hold up the vitality of this land. Every Canadian is like a puzzle piece in a picture frame, constructing a complete picture of civilization with unique edges and corners. In this National Day month, the maple leaf glass frame installation on the streets of Ottawa is like a metaphor of reality. Visitors take pictures of Parliament Hill through the hollow maple leaves. When the camera focuses, they find that it is the “restriction” of the maple leaf shape that allows the blue sky and white clouds to have a poetic dialogue with the historical buildings. This is just like the growth philosophy of a country – within a clear value framework, giving every life space to stretch freely. When the first snow in the Rocky Mountains turns the edge of the maple leaf frame white, we will finally understand: the best protection is not to freeze time, but to hold up hope with an inclusive border. Just like the red maple flag always flies towards the future, every Canadian can grow a unique life ring on the common background.

En juillet, le drapeau canadien à feuille d’érable déploie ses lignes rouges et blanches dans la lumière matinale, tel un cadre qui fige un paysage éternel. Lorsqu’on contemple ce drapeau national adopté en 1965, on réalise rarement que le motif de la feuille d’érable est un cadre symbolique : l’érable rouge à onze pointes trace une frontière nette, tout en laissant la galaxie s’écouler entre elles. Un véritable cadre n’est jamais une contrainte, mais un contenant porteur de sens. Tout comme l’espace vide du drapeau à feuille d’érable, il contient de multiples histoires, de l’océan Pacifique à l’océan Arctique : les tambours des peuples autochtones et les accents locaux des immigrants s’entremêlent entre les lignes rouges de l’érable, et les palmiers de différentes couleurs de peau soutiennent ensemble la vitalité de ce pays. Chaque Canadien est comme une pièce de puzzle dans un cadre, construisant une image complète de la civilisation aux contours et aux angles uniques. En ce mois de la fête nationale, l’installation de feuilles d’érable en verre dans les rues d’Ottawa est une métaphore de la réalité. Les visiteurs prennent des photos de la Colline du Parlement à travers les feuilles d’érable creuses. Lorsque l’appareil photo fait la mise au point, il découvre que c’est la « restriction » de la forme de la feuille d’érable qui permet au ciel bleu et aux nuages blancs d’entretenir un dialogue poétique avec les bâtiments historiques. C’est à l’image de la philosophie de croissance d’un pays : selon un cadre de valeurs clair, chaque vie peut s’épanouir librement. Lorsque les premières neiges des Rocheuses blanchissent le bord du cadre de la feuille d’érable, nous comprenons enfin : la meilleure protection n’est pas de figer le temps, mais de soutenir l’espoir par une frontière inclusive. Tout comme le drapeau rouge de l’érable flotte toujours vers l’avenir, chaque Canadien peut faire pousser une bouée de sauvetage unique sur ce fond commun.